FRET : Fuite suspecte sur un train de marchandises à Narbonne
FRANCE - Aujourd'hui à 17 h 50, un train de marchandises venant de Fos et se dirigeant à Toulouse Saint Jory traverse la gare de Narbonne. À son passage, il est détecté une odeur particulière. Une suspicion de fuite de matières dangereuses est alors prise en considération car le train transporte en effet des matières dangereuses très différentes les unes des autres.
Les employés SNCF, responsables de la circulation des trains dans la zone, alertent le mécanicien et lui demandent de s'arrêter à la sortie de la ville de Narbonne dans une zone peu habitée. Le train s'arrêtera donc en rase campagne et ceci pour ne pas mettre en danger les riverains de la ligne. Le conducteur du train avec 22 wagons de matières dangereuses différentes, s'arrêtera peu avant l'ancienne gare de Marcorignan. Dans le même temps, la direction de la gare alerte les services compétents à savoir le service des secours et la gendarmerie nationale. Il sera procédé comme la veille lors des exercices de sécurité à la Comurhex-Malvesi. Mais là s'arrête la comparaison car la gendarmerie a mis son dispositif en place. Dès lors aucune circulation de voitures n'est autorisée. La circulation des trains sur la voie ferrée entre Narbonne et Carcassonne est interrompue dans les deux sens.
Un peu avant Marcorignan, un ter régional « TER » venant de Carcassonne, est stoppé. Tous les voyageurs sont transbordés dans deux cars à destination de la gare de Narbonne. Les sapeurs pompiers venus de Narbonne et de Carcassonne sous le commandement du capitaine Laurent Couffignal sont rapidement à pied d'œuvre. Seize sapeurs pompiers dont la spécialité est l'incendie mais aussi le colmatage de fuites sont à pied d'œuvre. Ils sont lourdement équipés avec deux véhicules équipés pour les risques technologiques, un véhicule d'assistance respiratoire avec quantité de bouteilles d'oxygène mais aussi un camion incendie en protection. Toutes les précautions sont prises par les hommes en rouge.
À la première reconnaissance, les sapeurs pompiers ne repéreront pas de fuite apparente ni ensuite à la détection. À 21 heures hier soir, les reconnaissances se poursuivaient. Rien n'allait être laissé au hasard.
EDUCATION : Depuis 2003, 100 000 élèves ont fréquenté le train-écoles des CFF
SUISSE - Lancée en août 2003, la campagne "Fair-Play, c'est sûr!" entend sensibiliser les écoliers suisses
de 11 à 16 ans aux dangers du rail ainsi qu'aux problèmes liés au vandalisme et à la resquille.
Le train-écoles circule en effet dans toute la Suisse. Trois mois à l'avance, les écoles situées dans un rayon de 50 kilomètres sont invitées à s'inscrire pour une visite didactique de 90
minutes. Coût de l'opération: 50 francs par élève, soit 5 millions déboursés à ce jour par les CFF, a indiqué lundi devant les médias Andreas Meyer, directeur général exécutif de l'ex-régie
fédérale.
Un investissement gagnant, puisque l'ensemble des mesures de sécurité ont notamment permis "de maintenir voire baisser les frais liés au vandalisme, chiffrés à 6 millions de francs suisses par
année", a expliqué Diego Marti, responsable du service Info écoles. De même, le nombre d'accidents graves impliquant des jeunes de moins de 20 ans reste bas: cinq par an, pour 900'000 voyageurs
quotidiens.
Pour les CFF, l'attitude des jeunes ne diffère pas en fonction des régions linguistiques. "Tous cherchent les limites", a souligné Andreas Meyer. En revanche, les élèves âgés de 11 à 13 ans
s'intéressent plus à la question des accidents, et ceux qui ont entre 14 et 16 ans, à la fraude et aux actes de vandalisme. Des thèmes abordés dans le train-écoles par le biais d'exemples
pratiques.
Une initiative qui mérite d'être signalée : la campagne "Fair-Play, c'est sûr!" lancée il y a sept ans déjà entend sensibiliser les écoliers suisses de 11 à 16 ans aux dangers du rail ainsi qu'aux problèmes liés au vandalisme et à la resquille. Et l'opération est payante : les frais liés au vandalisme seraient ainsi limités. A quand l'exportation de ce modèle d'éducation à travers l'Europe ?
PERTURBATIONS : Un vol de câbles électriques sur la ligne Lille-Douai bloque 67 TER
FRANCE - À hauteur de Seclin, la signalisation a été bloquée après la dégradation de câbles électriques lors d'une tentative de vol. À cause de
cette panne de signalisation, les barrières sont restées fermées au passage à niveau de Phalempin. Le conducteur d'un poids lourd ne supportant pas cette trop longue immobilisation a défoncé les
barrières avec son véhicule avant de prendre la fuite. Un agent a été envoyé à Phalempin pour garder la barrière, le temps que l'on procède à son remplacement.
La SNCF a dû traiter dans l'urgence la circulation des trains. Un contournement par Don-Saighin a été mis en place pour les trains qui pouvaient être détournés par là. D'autres voyageurs ont été
pris en charge par des autocars. Tous les trains de la période de pointe du matin ont été touchés. Ces désagréments ont entraîné des retards allant d'un quart d'heure à une heure pour les
voyageurs.
« L'incident principal a été identifié aux alentours de six heures. Nous avons constaté que des câbles avaient été sectionnés à certains endroits, mais aussi dérobés à d'autres endroits.
Nous avons dû, zone après zone, remonter le rail pour voir ce qui était touché. On remettait la signalisation en route et on vérifiait au fur et à mesure où elle se rétablissait. On a fait ça
entre Seclin et Lille, c'est ce qui explique le délai assez long de ces perturbations », explique-t-on du côté de la SNCF.
Bloqués à quai : La circulation de soixante-sept TER (train express régional), a été interrompue, ce lundi matin, dès six heures,
sur la ligne Douai-Lille, la plus empruntée du Nord - Pas-de-Calais. Deux incidents distincts, mais liés, sont en cause : le vol de cable en cuivre, encore et
toujours...
TERRORISME : La Russie sous le choc après les attentats sanglants du métro de Moscou
RUSSIE - Au moins 38 personnes sont mortes et 64 blessées ce lundi matin 29 mars dans un double attentat suicide perpétré à l'heure de
pointe dans des rames du métro de Moscou. Les services spéciaux russes soupçonnent « des groupes terroristes » liés à la région du Caucase du Nord. Le président
Dmitri Medvedev a ordonné de renforcer la sécurité dans les transports à travers le pays.
Ce sont deux femmes kamikazes qui, selon le maire de Moscou, ont déclenché leurs explosifs à l'intérieur de deux trains, à l'heure ou les rames et les quais du métro moscovite sont
particulièrement bondés. D'abord, à 8h, 23 (heure locale) personnes meurent sur le coup dans la station Loubianka. Une station très symbolique puisqu’elle se trouve tout près du siège des
services de renseignements russes. Une bonne demi-heure après, à 8h37, une deuxième explosion retentit dans les souterrains du métro, cette fois à la station Koultoury. Un attentat qui, lui, fait
au moins 12 morts. Certains blessés graves décéderont peu après de leurs blessure, portant le bilan à 38 morts et 64 blessés.
Des scènes de paniques suivent les attentats, les gens tentent de s'enfuir dans une fumée épaisse et la poussière. Les secouristes ont du mal à arriver sur place. L'accès aux quais est difficile
à cause de la profondeur du métro moscovite, un métro que plus de huit millions de personnes empruntent chaque jour. Peu après les attentats, le président Medvedev a réagi avec la plus grande fermeté, en déclarant que la lutte contre le terrorisme allait se poursuivre.
Selon Dmitri Medvedev, « les opérations vont continuer sans compromis et jusqu'au bout ». Les terroristes à l'origine du double attentat de ce matin seront « anéantis », a dit
pour sa part le Premier ministre Vladimir Poutine.
Ces derniers temps, les forces de l'ordre ont multiplié les opérations d'envergure dans le Caucase du Nord, pour y traquer les rebelles islamistes. Plusieurs de leurs leaders ont été
abattus. Donc, il pourrait éventuellement s'agir d'un acte de vengeance. De son côté, le chef des services spéciaux russe, Alexandre Bortnikov confirme que selon une enquête préliminaire,
les attentats ont été commis par des groupes terroristes liés au Caucase du Nord. Les deux femmes seraient originaires de cette région.
Déjà le 15 février dernier, des insurgés islamistes avaient envoyé un avertissement à Moscou en proclamant qu'ils transporteront la guerre jusque dans les villes russes. Sur un site internet,
leur chef Dokou Oumarov avait déclaré : « Le sang ne se limitera plus aux villes du Caucase. »
Le métro de Moscou a été une nouvelle fois pris pour cible par des terroristes, lundi matin en pleine heure de pointe. Deux
attentats-suicide commis à moins d'une heure d'intervalle ont fait au moins 38 morts et 65 blessés, selon un dernier bilan des autorités, qui parlent de femmes kamikazes et privilégient la piste
de séparatistes du Caucase.Le maire de Moscou, Iouri Loujkov, a décrété mardi journée de deuil dans la capitale
russe. De nombreux dirigeants dans le monde entier ont fermement condamné le double attentat...
HISTOIRE : Une conférence sur les cheminots pendant l'Occupation diversement appréciée
FRANCE - Enlever le voile pudique qui repose sur l'histoire de la SNCF sous
l'Occupation allemande... Parler de la Résistance chez les cheminots, puis aborder le sujet des déportations et la participation de la SNCF : C'est en substance ce que propose Ludivine Broch,
universitaire d'Oxford, lors de la conférence qui se tiendra au musée de Chauny, le mardi 20 avril.Un thème relativement délicat puisqu'encore aujourd'hui, certains Ternois ont connu cette époque
troublée.
Pour quelques-uns, cette conférence est une attaque envers les cheminots. En revanche, pour les jeunes générations qui doivent faire perdurer l'histoire, c'est un moyen quasi unique d'en
apprendre un peu plus au plan local. Fernand Leblanc, président des Amis du musée et ancien résistant, a souhaité mettre les choses au point afin de dissiper les malentendus.
« Cette conférence n'est pas là pour refaire le procès de la SNCF. Je témoigne que la majorité des cheminots ont fait ce qu'ils ont pu contre l'occupant. Il faut se souvenir que les Français
étaient prisonniers, que si les cheminots n'obéissaient pas, leurs familles étaient condamnées. Maintenant, on ne peut pas dire que les trains n'ont pas transporté de déportés. Il est important
d'aborder ce sujet pour se rendre compte de ce qu'était l'ambiance, à l'époque, car c'est trop facile de juger après. »
Certes, les cheminots n'étaient pas tous des résistants avec l'arme à la main, mais certains, par de petits gestes, n'ont pas hésité à détériorer le matériel. Un comportement parfois difficile à
vivre, car il s'agissait de saboter son outil de travail.
D'un autre côté, il y avait de véritables collabos, comme ailleurs, « comme cet agent des Allemands qui était à Tergnier » ajoute Fernand Leblanc, qui ne veut ni juger, ni accuser. Il faut dire
aussi que les figures de la Résistance ternoise étaient issues du monde cheminot. Étienne Dromas, Roger Charbonnier et Robert Lebrun en étaient. C'est dans la cité que s'est déroulé l'un des plus
gros sabotages de la région où seize locomotives ont explosé. Il y avait des héros, effectivement, mais cela ne signifie pas qu'en face, il y avait des lâches.
Ce sont ces petites histoires qui, misent bout à bout, font la grande, celle abordée par Ludivine Broch, le 20 avril prochain, sans a priori, ni jugement de valeurs, simplement pour que le devoir
de mémoire fasse son œuvre.
Avis aux amateurs : Le 20 avril prochain se tiendra à Chauny dans l'Aisne une conférence sur la Résistance chez les cheminots,
sur les déportations et la participation de la SNCF. Un sujet sensible qui en fait frémir certains.... mais toute auto-critique est toujours bonne à faire : d'autant plus que les cheminots dans
l'ensemble n'ont pas toujours démérité, loin de là !
TGV : Deux sœurs handicapées obligées de voyager... séparément
FRANCE - La règle, c'est la règle ! Laetitia et Céline, deux sœurs de 27 et 25 ans, handicapées depuis toutes petites par une maladie
génétique, viennent d'en faire l'amère expérience. Alors qu'elles cherchaient à acheter deux billets de train pour se rendre à Paris, depuis Albertville, et assister au concert de Mika le 27
avril prochain, les deux jeunes femmes se sont heurtées de plein fouet à la rigidité du règlement de la SNCF : un seul fauteuil électrique par rame de TGV, alors que celle-ci comporte plus de 400
places.
Les deux sœurs devront donc prendre deux trains distincts, à deux horaires différents. «Il me paraissait évident de pouvoir partir avec ma sœur dans un même train, s'indigne
Laëtitia au micro de RTL. Et bien non je n'en ai pas le droit parce que je suis une personne handicapée.» Cette discrimination déçoit aussi beaucoup Céline qui se faisait une
joie de voyager avec sa sœur : «Ça me révolte, ça nous remet encore une fois en face de la maladie qui est là et passe avant le reste», témoignait-elle sur la même radio.
A la SNCF, on assure toutefois être en présence d'un «malheureux concours de circonstances». Sur les rames de TGV rénovées, il y aurait maintenant deux places réservées aux personnes en fauteuil
électrique. Et même trois sur les TGV estampillés «Lacroix» (rouge et violet). Seules les rames non-rénovées, dont on assure qu'elles sont en voie de disparition, poseraient encore problème. Il
serait d'ailleurs impossible de chiffrer leur nombre «dans l'immédiat».
«Nous reconnaissons que sur ce trajet particulier, nous ne pouvions rien faire. Nous nous engageons à essayer de trouver une solution. A une autre heure peut-être, ou la veille s'il le faut,
auquel cas nous prendrions en charge les frais d'hébergement», promet-on pieusement à la SNCF. Mais du côté de Laëtitia et Céline, on attend maintenant du concret avant de pouvoir profiter
pleinement du concert.
L'affaire survient deux jours seulement après l'histoire de cette jeune
paraplégique débarquée de son avion par la compagnie à bas prix EasyJet sous prétexte qu'elle
n'avait pas d'accompagnateur. La succession de ces deux affaires met en lumière de vrais dysfonctionnements dans la prise en charge des personnes à mobilité réduite. Le président de l'Association
des paralysés de France, invité ce midi sur RTL, ne décolérait pas après cette nouvelle affaire : «J'ai écrit ce matin à Dominique Bussereau (ministre des Transports,
ndlr) pour lui demander de réunir les dirigeants des sociétés de transport afin que ce genre de choses s'arrête dés maintenant.»
Retranché derrière le réglement... Le train que les deux jeunes femmes voulaient prendre ne peut accueillir qu'un seul
fauteuil électrique. «Malheureux concours de circonstances», se défend la SNCF... Bétise réel, plutôt ! Sitôt la place réservée, les handicapés devrait donc rester à quai jusqu'à ce qu'une
train avec une place de libre se présente ?!? voilà qui est profondément inhumain !
CONTRAT : La Deutsche Bahn lorgne un gros contrat aux Emirats arabes Unis
ALLEMAGNE / EAU - "Deutsche Bahn (DB) envisage d'entrer en partenariat stratégique pour la planification, la construction et la gestion d'un système
ferroviaire aux Emirats arabes Unis", a annoncé ce dimanche la compagnie ferroviaire publique allemande. Aucun ordre de grandeur du montant de ce gros contrat potentiel n'a cependant été révélé
dans le mémorandum qui a été signé à Abou Dhabi, capitale des Emirats, en présence notamment du ministre allemand des Transports, Peter Ramsauer et des patrons de la DB, Rüdiger Grube et du
groupe Al Masaood, Abdullah Al Masaood.
"L'Allemagne va tout faire pour soutenir les Emirats arabes unis à mettre en place une infrastructure ferroviaire ultra-moderne", a déclaré Peter Ramsauer lors de la cérémonie de signature, selon
le communiqué de la DB. Les réseaux ferroviaires sont encore rares dans la région du Golfe où de lourds investissements se chiffrant en milliards de dollars sont prévus au cours ces prochaines
années, pour développer "des liaisons de transport régional, un métro, des services de tramway et une ligne longue-distance reliant Abou Dhabi au sud des Emirats", indique la DB dans son
communiqué.
Cette déclaration d'intention intervient quatre mois après l'annonce par la Deutsche Bahn de la signature d'un important contrat de construction des voies ferrées et de lignes urbaines au Qatar,
estimé à 17 milliards d'euros.
Décidément, la DB se plait dans les pays du Golfe : après le Qatat il y a quatre mois, la compagnie allemande a annoncé ce dimanche
la signature d'un mémorandum d'entente avec le conglomérat industriel Al Masaood pour la construction d'une infrastructure ferroviaire aux Emirats arabes unis. L'attrait du soleil, sans
doute...
LA VIDEO DE LA SEMAINE : Crash science - les trains (1/5)
Place au savoir ! Passion-trains vous propose ce dimanche et pour les quatre semaines à venir d'étendre le champs de vos connaissances dans le
domaine de la sécurité ferroviaire et d'exiter vos neurones avec "Crash science : les trains", un documentaire britannique sorti en 2007 et diffusé recemment sur France5.
Le train est en effet l'un des moyens de transport les plus sûrs. Cependant, c'est également un des modes de locomotion terrestre les plus lourds. Il véhicule une énergie cinétique qui, en cas
d'accident, peut se révéler destructrice. Aussi, des scientifiques travaillent pour améliorer la sûreté des convois.
Des premières locomotives au TGV, cette série vous propose donc de découvrir les progrès technologiques réalisés en matière de sécurité ferroviaire. Intéressant.... pertinant.... cultivant !
bref.... passionnant !
Bonne vidéo et à la semaine prochaine pour la 2e partie ! ;-)
Eric
SECURITE : La SNCF va doubler le nombre de caméras de surveillance dans les trains et les gares
FRANCE - «L'objectif est d'installer 25.000 caméras dans les gares et les trains d'ici à 2013-2014», a déclaré une porte-parole de la compagnie,
sans toutefois indiquer le coût de cette opération. «Les conseils régionaux participent le plus souvent au financement», a-t-elle simplement fait savoir.
«L'objectif aujourd'hui affiché pour 2012, voire plus prudemment 2013, est de dépasser le cap des 25.000 caméras», rapporte de son côté la Vie du Rail, qui cite des informations transmises aux
préfets le 3 mars par le président de la SNCF Guillaume Pepy. Cette information n'avait pas été rendue publique, en raison de la proximité des élections régionales,
selon le journal.
En 2009, 14.400 caméras, dont 6.300 dans les gares et 8.100 dans les trains, avaient été recensées. Le coût estimé des installations de caméras supplémentaires serait de 250 et 350 millions
d'euros, soit 50 à 70 millions d'euros par an.
Deux fois plus de caméras pour deux fois plus de sécurité? La SNCF va en effet presque doubler le nombre de caméras installées dans les trains et les gares d'ici à 2013-2014 pour assurer la sécurité des voyageurs, alors que plusieurs agressions ont eu lieu dans des trains ces dernières semaines... Génération people ! quand tu nous tiens....
GREVE : Action syndicale des cheminots de Network Rail du 6 au 9 avril en Grande-Bretagne
ROYAUME-UNI - Les leaders syndicaux de la société Network Rail ont annoncé jeudi que les travailleurs du rail conduiront
une grève de quatre jours du 6 au 9 avril, ce qui serait la plus longue grève dans le domaine ferroviaire depuis 16 ans en Grande-Bretagne.
Le secrétaire général de la "Rail Maritime and transport union" Bob Crow a expliqué que les syndicats protestent contre les mesures d'économie proposées par Network Rail qui risquent selon eux de
menacer la sécurité du rail en Grande-Bretagne et de supprimer des postes.
La direction de Network Rail a confié que, même si elle tenterait de faire fonctionner le plus de trains possibles, la grève aura un "impact sévère" sur son trafic ferroviaire.
Les anglais de Network rail en grève en avril prochain pour protester contre les mesures d'économie qui risquent selon eux de
menacer la sécurité du rail en Grande-Bretagne et de supprimer des postes. la branche anglaise de sud (South rail) serait elle dans le coup ?