PERPIGNAN-FIGUERAS : Accord sur le dédommagement du concessionnaire
FRANCE / ESPAGNE - Lors de la présentation des
résultats du groupe Eiffage, Jean-François Roverato, pdg du groupe, a assuré qu'un accord avait été trouvé dans le cadre de la LGV Perpignan-Figueras quant au dédommagement du concessionnaire TP
Ferro (50% Eiffage, 50% ACS Dragados). En effet, depuis le 17 février dernier (date à laquelle l'ouvrage a été livré conformément au contrat de concession), le concessionnaire TP Ferro ne
peut l'exploiter du fait du retard pris côté espagnol pour la liaison vers Barcelone. Le tronçon Figueras-Barcelone, initialement prévu en 2009, ouvrira au mieux en 2012. Trois années pour
lesquelles le concessionnaire réclame un dédommagement aux autorités concédantes, Etat Français et Royaume d'Espagne.
Selon Jean-François Roverato, un accord a été trouvé «quelques jours avant la remise des clés de l'ouvrage». Sans dévoiler le montant de l'indemnisation, il a indiqué que les prévisions de
recettes étaient de 30 millions d'euros par an pendant les trois premières années. L'accord se traduirait en espèces sonnantes et trébuchantes mais également par une prolongation du contrat de
concession. «Cet accord avec les autorités concédantes se traduira dans les mois qui viennent en avenant au contrat de concession».
Par ailleurs, Jean-François Roverato a indiqué qu'une réclamation avait été déposée par le groupement constructeur TEP (Trans Euro Pyrénées) suite aux difficultés rencontrées pendant le
creusement du tunnel bitube du Perthus. En effet, malgré des campagnes de reconnaissance préalable, la géologie du massif des Albères s'est révélée capricieuse. Les tunneliers Mistral et
Tramontane sont restés plus de deux ans sous les Pyrénées, soit six mois de plus que prévu. Pour rattraper ce retard, le groupement constructeur a accéléré la pose de voies, l'installation des
équipements, l'électrification et la signalisation. Ces modifications de plannings ont évidemment un coût pour lequel TEP voudrait être dédommagé. Une réclamation a donc été déposée en ce sens,
en vertu de la théorie de l'imprévisibilité dans le millefeuille géologique des Pyrénées.
Tiroir-caisse : le retard pris côté espagnol pour la liaison vers Barcelone dans la construction du tronçon Figueras-Barcelone va
entrainer un dédommagement pour le concessionnaire TP Ferro auprès des autorités concédantes, l'Etat Français et le Royaume d'Espagne. Pas de chiffres annoncés... mais la somme devrait
être, hum... "conséquente".
FINANCEMENT DES TRANSPORTS COLLECTIFS : Avenir Rail estime que "le statu quo n’est plus tenable"
FRANCE - Les 2e Rencontres nationales d’Avenir Rail
se sont tenues jeudi 26 février 2009 à Toulouse à l’hôtel de Région Midi-Pyrénées sur le thème « les défis du transport ferroviaire de demain », en présence notamment de Guillaume Pépy, président
de la SNCF, Hubert Du Mesnil, président de RFF, Adrien Zeller, président de la Région Alsace, et onze vice-présidents de Région en charge des Transports.
A l'occasion de ces rencontres nationales, Martin Malvy, président d’Avenir Rail, a estimé que " les
Régions (qui sont les actrices du renouveau du train de proximité depuis 10 ans dans notre pays) sont aujourd’hui à la limite de l’effort qu’elles peuvent fournir".
"Les Régions consacrent 3,4 milliards d’euros par an (hors Ile-de-France) aux
TER, investissement et fonctionnement confondus. Elles le font sans ressource propre affectée à cette mission essentielle pour la vie quotidienne de nos concitoyens. " a t'il
ajouté.
"Avec une fréquentation des TER (et c’est un grand succès pour les Régions) qui a augmenté de 28% ces
5 dernières années, dont la SNCF nous dit qu’elle va encore quadrupler d’ici 2030 voire 2020, ce n’est plus tenable ! J’estime donc ", a poursuivi Martin Malvy, "qu’à l’instar
des agglomérations, les Régions devraient bénéficier d’une ressource leur permettant d’accompagner ce formidable développement du rail. Qu’il s’agisse de la généralisation du versement transport
ou d’une extension de la part régionale de la TIPP comme le préconise Adrien Zeller, président de la Région Alsace, peu importe : débattons-en, mais le statu quo n’est bientôt plus
possible ".

INSOLITE : Une gare... pour un seul train !
ROYAUME-UNI - Une gare pour un seul train… c’est actuellement le lot
quotidien de la gare de Corby située en Grande-Bretagne. Cette situation serait due à la pénurie de trains dans le pays. Ainsi, un seul aller-retour serait assuré entre Corby et Londres.
«C'est une honte. Un service régulier aurait dû être mis en place depuis le mois de décembre », indique Bruce William, membre du groupe de pression Railfuture. Toutefois, la situation devrait
être améliorée d’ici au mois d’avril grâce à un service plus régulier d’environ un train par heure. Tout n'est donc pas perdu....
Quel gâchis … La gare de Corby, située en Grande-Bretagne, n’accueillerait qu’un seul train par jour. Toutefois, il est prévu que
cette infrastructure, d’un coût de 20 millions d'euros, dispose d’un service plus régulier d’ici au mois d’avril. Arf.... voici l'usager britannique rassuré.
DECLARATION : Pierre Blayau s'exprime sur les pertes de Fret SNCF
FRANCE - Fret SNCF devrait enregistrer en 2008 des pertes d’environ 350 millions d’euros. “Elle doit absolument combler le différentiel de compétitivité qu’elle
peut avoir face à la route et aux autres opérateurs”, déclare Pierre Blayau, patron de la branche transports et logistique.
Le responsable du Fret SNCF souligne que “l’activité de wagon isolé est d’un prix de revient 1,5 à 2 fois supérieur à la route”, dans une interview à Transport Info Hebdo à paraître
aujourd’hui. Cette activité, qui permet à une entreprise de n’affréter qu’un seul wagon, “ne représente que 35% des trafics, mais génère 70% des pertes de Fret SNCF, qui seront en 2008
d’environ 350 millions d’euros pour des produits du trafic qui plafonnent à 1,6 milliard d’euros”, déclare-t-il.
Le plan Swing visant à moderniser cette activité continue “avec l’objectif de réduire les pertes de façon significative à l’horizon 2011/2012″, indique le directeur général délégué de la
branche transports et logistique de la SNCF et PDG de Geodis. Mais la baisse des volumes de trafic de 30% par rapport aux prévisions aura “des conséquences sur les comptes d’exploitation de
2009″, ajoute-t-il, en indiquant que “les pertes sont, au budget, autour de 430 millions d’euros”.
C'est la phrase du jour : “Le Fret SNCF doit absolument combler le différentiel de compétitivité face à la route” selon Pierre Blayau,
patron de la branche transports et logistique Ben oui Pierre... ce serait pas mal...ne serait-ce que pour réduire le taux de CO2 dans l'atmosphère...
TER : Les trains régionaux sortent du tunnel en Normandie ?
FRANCE - Suite aux difficultés de cet hiver sur les trains régionaux, les 4 000 abonnés vont bénéficier d'une réduction de 40 % sur leur mois d'avril. Financée par la
SNCF, cette mesure sera étendue aux abonnés du Paris-Granville avec une réduction de 15 % en avril, en complément des 25 % accordés en janvier. Autre mesure : en cas de cinq retards supérieurs à
14 minutes ou suppressions de trains TER, au cours du même mois, l'abonné bénéficiera d'une réduction de 40 % sur son abonnement mensuel.
Guillaume Pepy l'a avoué, hier midi, en signant cet accord avec la Région. « J'ai mal vécu les décisions du président Beauvais de bloquer les paiements début janvier. Les négociations furent
difficiles. Mais, nous avons su sortir de la crise par le haut. Ce dispositif exceptionnel est unique en France. » Les paiements mensuels de la convention Région-SNCF vont donc reprendre, sans
pénalités pour les deux mois de retards.
Fier de son coup, Laurent Beauvais a accepté, en contrepartie, de financer une nouvelle rame TER, au nombre de 23 rames neuves aujourd'hui. Depuis le début du mois, « grâce aux efforts des
cheminots », la régularité des trains régionaux est supérieure à 96 %, assure Guillaume Pepy.
Avec les nouveaux horaires « cadencés », la Région avait accepté la mise en place d'arrêts à Houdan et Montfort-l'Amaury sur Argentan-Paris (6 h 04/8 h 11). Avec un taux de fréquentation des
Franciliens plus élevé que prévu, 200 voyageurs entraînant surcharge et pertes de temps, ces deux arrêts seront supprimés. Région et SNCF poursuivent cependant leurs négociations concernant
l'achat de 18 « matériels d'avenir bi-mode », diesel et électrique, destinés aux dessertes Corail Intercités et TER de la ligne Paris / Granville. Ce matériel devrait être livré à partir de 2013.
Coût : 160 millions d'euros.
Au niveau des grandes lignes. Philippe Duron, pour la ville de Caen, Jean-Léonce Dupont, pour le département du Calvados, Laurent Beauvais, pour la Région et Christian Leyrit, pour l'État, y
sont, chacun, allés de leur couplet sur le thème : « Que la Normandie ne soit plus une exception ferroviaire ! » Lors de l'inauguration de la « nouvelle » gare de Caen, hier matin, «
Nous sommes pro-ferroviaires. Soyez pro-Normands », a lancé Laurent Beauvais.
Guillaume Pepy l'a promis. Le président de la SNCF reviendra deux fois à Caen : le 23 mars pour les assises régionales du ferroviaire et le 2 avril, lors de la venue de Dominique Bussereau
secrétaire d'État aux Transports. Objectif : « Plan rail normand. » La Normandie semble, enfin, commencer à sortir de son tunnel ferroviaire...
Après deux mois de crise, SNCF et Région sont parvenus, hier, à un accord. En cas de retard ferroviaire, les abonnés des TER seront
dédommagés. Oulah... gros changement de mentalité en Normandie !
MAINTENANCE : Les ETR600 de Trenitalia en maintenance par Alstom
FRANCE / ITALIE - Alstom s'est vu confier le 13 février par Trenitalia un contrat de maintenance de cinq ans sur sa flotte de Pendolinos ETR600 (trains pendulaires à
grande vitesse). En effet, depuis le 14 décembre 2008, 6 Pendolinos (sur un total de 12
commandés en 2004 à Alstom) sont entrés en service commercial et circulent actuellement sur trois lignes dans le Sud de l'Italie.
Ces nouveaux trains, composés de sept voitures, peuvent atteindre une vitesse maximale de 250 km/h et transporter 430 voyageurs. Ils ont été fabriqués principalement sur le site Alstom de
Savigliano, en Italie, le site de Sesto San Giovanni ayant fourni les convertisseurs de traction et Bologne, Bari et Vérone les équipements radio et signalisation.
C'est la première fois que l'opérateur public italien Trenitalia confie un contrat de service total à une société privée pour une nouvelle flotte de trains.
En maintenance chez Alstom... et c'est une première : le constructeur français a en effet remporté un contrat de
maintenance portant sur 5 ans d'entretien des rames ETR600 de la FS. cocorico...
SOCIAL : Grève attendue à la SNCF le 19 mars prochain
FRANCE - Alors que malgré leur réunion avec Nicolas Sarkozy, les syndicats ont confirmé la journée de mobilisation du 19 mars prochain, elle devrait donner lieu
à un mouvement de grève très suivie à la SNCF.
La plupart des syndicats du grand opérateur ferroviaire français (CGT, Unsa, FO, Sud-Rail, CGC...) sont en
effet convenus de déposer un préavis national pour cette date. Seule la CFDT ne s'est pas encore associée au mouvement. Elle entend d'abord consulter ses instances et sa base. La Fgaac
(conducteurs) devrait également se joindre au mouvement mais consulte elle aussi.
Selon le patron de la CGt cheminots, Didier Le Reste, "les cheminots comme les autres salariés, les chômeurs
et les retraités sont victimes de la crise financière." Il dénonce en outre à la SNCF "la gestion actuelle qui nous entraine de plus en plus sur les voies du libéralisme économique" et souligne
les "grandes interrogations sur l'avenir du fret".
La plupart des syndicats du grand opérateur ferroviaire français sont convenus de déposer un préavis national pour cette date qui
doit déjà marquer une nouvelle journée de mobilisation nationale. Usagers : à vos godasses ou à vos RTT.... vu que vous serez les premiers concernés, préparez
vous.
TEST : L'expérimentation du e-billet mise sur les rails du TGV-Est
FRANCE - Les nouvelles technologies ont un ticket avec la SNCF : La compagnie va expérimenter le e-billet, une nouvelle forme de titre de transport sur la ligne à
grande vitesse Paris-Strasbourg. Effectif à partir du 10 mars, le test portera uniquement sur la clientèle « loisirs ». Son principe, permettre aux usagers de télécharger un code en réservant
leur voyage sur Internet.
« Au moment de l'achat d'un e-billet, une référence client est attribuée à chaque voyageur, qui communique ses nom et prénom, explique-t-on chez VFE (Voyage France Europe), filiale de la
SNCF en charge de l'expérimentation. Sous cette référence sont enregistrées, dans le système de réservation de la SNCF, les opérations d'achat ou d'annulation réalisées par le client. » Il n'aura
dès lors plus qu'à imprimer une confirmation de paiement comprenant un code-barres à présenter au personnel de bord. Munis de lecteurs électroniques de type PDA, les contrôleurs pourront ainsi
vérifier que l'usager est en règle.
Le système évitera « nombre de contraintes actuelles, comme la perte de billet et l'oubli du compostage », se félicite VFE. Première étape vers « une dématérialisation totale du titre de
transport », le e-billet devrait être déployé sur d'autres lignes nationales d'ici à la fin de l'année. Pour ce faire, la SNCF a prévu de former 13 000 de ses agents.
Has been, le billet papier : la SNCF va expérimenter le e-billet, une nouvelle forme de titre de transport sur la ligne à grande
vitesse Paris-Strasbourg. Gardez votre vieux titre de transport pour le musée...ou pour le revendre sur le forum de passion-trains, rubrique "Je vends" ; on ne sait jamais
!
PROJET : Le fret Pré-en-Pail/Alençon sur de bons rails ?
FRANCE - La ligne de fret ferroviaire entre Pré-en-Pail et Alençon
est en crise depuis cet été. En mauvais état, une seule entreprise l'utilisait encore. « Elle ne répond plus aux normes, explique Yves Cortès, maire de Pré-en-Pail. Il n'y a plus de train
dessus depuis fin novembre dernier. » Des réunions ont lieu depuis octobre pour tenter de trouver une solution. « On a d'un côté des entreprises qui ont des volumes à transporter
et de l'autre une ligne qui périclite », explique Guillaume Garot, député-maire de Laval.
« En plus du développement économique que ce projet apporterait, il y a aussi une forte dimension de développement durable », soutient Jean-Pierre Le Scornet, vice-président du conseil
régional des Pays de la Loire. « Un train équivaut à cinquante camions. L'idée, c'est qu'il vaut mieux des wagons sur des rails que des camions sur la route », reprend Guillaume
Garot.
Quel volume de matières premières et marchandises pourrait circuler via cette ligne ? Il est aujourd'hui estimé à 400 000 tonnes, au minimum, pour les quatre entreprises qui
étudient ce projet de près. « Cette quantité permet de remplir un train par jour. Soit cinquante camions de moins sur les routes par jour. » D'autres entreprises pourraient les
rejoindre. Le maire de Pré-en-Pail en comptabilise au moins une dizaine. Certaines pourraient même s'installer à Pré-en-Pail si on leur confirme qu'une ligne de fret sera présente pour assurer
leur activité. Pour l'instant, aucune entreprise n'a pris d'engagement contractuel.
À l'issue de la réunion d'hier, une étude a été confiée à Laval Mayenne Aménagement, (LMA) la société d'économie mixte du département. Cette étude devra déterminer quelles sont les conditions de
viabilité économique et technique de cette ligne, et quels moyens devront être engagés pour la relancer. Ce travail sera fait en partenariat avec les régions Pays-de-la-Loire et Basse-Normandie,
les départements de l'Orne et de la Mayenne, et Réseau Ferré de France. L'étude devrait être remise fin juin.
En fonction de cette étude, si la ligne est relancée, un choix devra être fait entre deux solutions. Dans un schéma classique, c'est RFF qui a la propriété de la ligne, et les entreprises
s'adressent à un opérateur pour le transport. Mais ici, un nouveau modèle sera peut-être mis en place : un partenariat entre les différents acteurs du dossier. Une expérience de ce type est
en cours en Auvergne.
Le projet de relancement de la ligne de fret entre Pré-en-Pail et Alençon
est toujours en discussion. Les différents acteurs du dossier se réunissaient donc ce jeudi 26 février et parmis les décisions prises, une étude va être lancée. Affaire à
suivre...
INCIDENT : Incendie dans un atelier de la SNCF
FRANCE - Cette fois, ce n'était pas un simple exercice comme il s'en déroule deux par an qui a valu aux responsables de l'ex-EIMM de Saintes (Établissement industriel
de maintenance du matériel roulant de la SNCF), dénommé aujourd'hui Technicentre, de louer la réaction du personnel et de complimenter l'intervention rapide des sapeurs-pompiers. Le feu s'est
bien déclenché hier matin dans l'un des bâtiments des ateliers SNCF qui bordent la gare de Saintes et au sein desquels travaillent environ 450 salariés.
Si l'origine du sinistre qui a ravagé partiellement l'un des locaux n'est pas déterminée et fait l'objet de deux enquêtes - l'une de la police nationale, la seconde interne à la SNCF - le
dirigeant du pôle QSE (Qualité, sécurité, environnement) du site, Philippe Lacueille, se satisfaisait de la manière dont la cellule de crise avait géré les
événements.
À 10 h 10 hier matin, l'alerte a été déclenchée à la suite d'un dégagement de fumée au-dessus d'un local industriel abritant les ateliers de
bogie (chariot situé sous les véhicules industriels), chaudronnerie et mécanique. La procédure se déroule alors en deux temps. Appel des pompiers et évacuation du personnel travaillant sur une
zone élargie. Au total, une trentaine de personnes ont quitté leur poste de travail pour se diriger vers un point de regroupement.
Il a fallu un peu plus d'une heure aux treize pompiers venus avec cinq engins pour maîtriser le feu. Après des vérifications d'usage (amiante avec le personnel de la SNCF et taux de CO2 dans les
autres bâtiments), les derniers pompiers ont levé le camp vers 15 h 30.
Au niveau des dégâts, le local situé entre deux bâtiments est affecté par « la destruction partielle d'une installation de filtration et d'aspiration d'air », constatait Philippe Lacueille en
milieu d'après-midi. Il s'agit d'un aménagement destiné aux soudeurs qui travaillent à côté. En conséquence de quoi « l'activité chaudronnerie sera reportée sur une autre zone, pour une période
qui reste pour l'heure indéterminée », précisait Philippe Lacueille.

Incendie dans un local technique au sein des ateliers abritant les bogies, la chaudronnerie et la mécanique dans le technicentre de Saintes - Heureusement pas de victime, mais l'activité chaudronnerie sera reportée sur une autre zone, pour une période qui reste encore à déterminer...