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PASSION-TRAINS

LA VIDEO DE LA SEMAINE : A toute vapeur en Bulgarie !

31 Juillet 2011 , Rédigé par Eric Publié dans #VIDEOS

y8400.jpg Dernière ch'tite vidéo avant les vacances.... et cette fois-ci, j'ai été vous la glaner en Bulgarie, le pays des yaourts... et des locomotives à vapeur : c'est rutilant, ça klaxonne, ça vit, bref : c'es beau, quoi !
 
Si comme moi votre connaissance de la langue bulgare laisse à désirer, inutile de chercher à comprendre le texte du film de la semaine, nonononoooon... tout au plus vous saurez que la belle porte l'immatriculation 01.23 et qu'elle fait, semble t'il, l'admiration des passionnés locaux. Je vous laisse d'aileurs le découvrir par vous-même : c'est parti pour environ 8 minutes de bonheur ferroviaire !
 
Bonne vidéo, et rendez-vous fin aout pour des nouveaux clips ferroviaires   ;-)
 
Eric
  
 
 

TRAINS DE BANLIEUE : La Catalogne prend en main ses trains de proximité

31 Juillet 2011 , Rédigé par La-clau.net Publié dans #FLASH INFO

logo-renfe.gif ESPAGNE - A partir de décembre prochain, le gouvernement catalan changera de prestataire de service pour la gestion de ses trains de banlieue. Une quinzaine de modèles de mobilité européenne sont à l'étude, avec pour probable conclusion une rupture de contrat avec RENFE, l'opérateur historique espagnol. L'ouverture d'une nouvelle ligne dite R-8, le 26 juin dernier, témoigne déjà d'un changement de stratégie, car il a suffi de construire quelques tronçons manquants pour unir la ville de Granollers, au nord de Barcelone, à celle de Martorell à l'est.

 

Désormais, deux cités dynamiques de la deuxième couronne barcelonaise sont unies, dans une réelle innovation. Alors que les autres lignes sud-catalanes prennent leur départ ou passent toutes par Barcelone, celle-ci laisse de côté la capitale catalane. Le temps de transport entre les deux villes qui délimitent la R-8 est ainsi passé de 1h15 à 45 minutes, avec 8 arrêts, dont un très prisé, sur le campus de Cerdanyola del Vallès, qui abrite l'Université Autonome de Barcelone. Le seul bémol est l'existence d'un seul train par heure, alors que certaines lignes en comptent jusqu'à 10. Toutefois, cette ligne pourrait à terme être rallongée, et unir ainsi Sant Celoni, 30 km au nord de Barcelone, à Vilafranca del Penedès, 30 km à l'est de la capitale.

 

Mais l'avenir des trains de proximité sud-catalans n'est plus l'exclusivité de Barcelone, comme le démontre un projet prévu sur l'axe Portbou-Blanes, du nord au sud de la province de Girona, à raison d'une cadence horaire. Souhaitant lancer ce service dès décembre, la Generalitat de Catalogne devra cependant attendre l'inauguration de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Perpignan et Barcelone pour obtenir un fonctionnement à plein régime.

 

 

L'actualité ferroviaire est riche dans la province de Girona, où une nouvelle liaison, au service des habitants, est prévue entre Portbou et Blanes. Plus globalement, le gouvernement catalan lance un plan d'adaptation aux exigences de mobilités nouvelles, tout en se séparant de la société ferroviaire espagnole RENFE... Vers la rupture ?

JUSTICE : Victime d'un retard de train, elle gagne son procès contre la SNCF

31 Juillet 2011 , Rédigé par Lefigaro.fr Publié dans #SOCIETE

logo SNCF FRANCE - «Aujourd'hui, je suis très contente que les droits des voyageurs soient enfin reconnus», affirme Céline Claret-Cloquet. Cette acupunctrice lyonnaise, âgée de 33 ans, se réjouit de la décision rendue par le tribunal d'instance de Paris qui lui a donné raison face à la SNCF dans une affaire de retard de train. Et ce, bien qu'elle n'ait pas touché les 4044 euros qu'elle réclamait : 3000 euros pour le préjudice moral subi et 1044 euros d'honoraires pour ces rendez-vous professionnels. «Le plus important, c'est que je me suis fait rembourser ma journée», a confié Céline Claret-Cloquet au figaro.fr.

 

En plus du remboursement de son billet, la SNCF versera 300 € de dommages et intérêts pour le préjudice moral subi et 500 € de frais de justice. Soit «environ 900 euros payables immédiatement», selon son avocat David Metaxas. Cette somme ne couvre pas entièrement les honoraires qu'elle aurait dus percevoir. «Cette différence s'explique par le fait que nous n'avons pas pu justifier l'intégralité du préjudice subi», explique le juriste au figaro.fr. Cinq autres voyageurs du trajet Lyon-Paris ont déposé une assignation en justice et réclament également la même somme «soit l'équivalent d'une journée de travail», selon l'avocat de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports.

 

Rappel des faits : vendredi 8 janvier 2010. Comme toutes les semaines, la jeune femme prend le train à Lyon à 8 heures, direction Paris où elle a programmé 12 séances de soin à l'Institut de beauté de l'hôtel Majestic. Un quart d'heure plus tard, le TGV s'immobilise. «Au bout de deux heures, on nous a dit que c'était un problème de caténaire sur la ligne, sans nous préciser quand il serait réglé», raconte-t-elle. Au bout de sept heures, le train repart pour finalement entrer en gare de Lyon à…16h32, alors qu'il était censé arriver à 10h03. Entre temps, l'acupunctrice a vécu un cauchemar. «On commençait à avoir froid et je ne pouvais pas prévenir mes clients de mon retard (en raison du problème de caténaire, le chauffage et les portables ne fonctionnaient pas)», explique-t-elle. Puis arrive l'heure du déjeuner. La SNCF sert des plateaux-repas. «Mais il n'y en avait que 150 pour 300 passagers et je n'ai pas pu manger», poursuit-elle.

 

Furieuse, la jeune femme rentre immédiatement à Lyon. «J'ai perdu ma journée, affirme-t-elle». Et de l'argent : 1044 euros, soit le montant de ses honoraires pour les douze séances. Les enveloppes distribuées par la SNCF pour se faire rembourser le billet ne couvrent pas cette somme. Sur les conseils de son ami avocat, elle décide de porter plainte. Son avocat estime que la SNCF a failli à ses obligations contractuelles : «l'obligation de ponctualité» et «l'obligation de sécurité et d'information». Selon lui, la rupture d'un caténaire sur le réseau, à l'origine des perturbations sur le trafic, ne relève pas d'un cas de force majeure. «Ce genre de retard ne peut être considéré comme imprévisible, cela arrive tout le temps», explique l'avocat. Et d'ajouter : «Au-delà du retard, c'est la façon dont la SNCF a géré les choses qui pose problème : on n'informe pas les voyageurs, on les laisse sans chauffage ni boissons chaudes, on ne propose pas de les évacuer».

 

Quoiqu'il en soit, cette nouvelle affaire vient entacher encore un peu plus l'image de la SNCF, confrontée à de nombreux retards ces derniers mois et notamment celui du fameux train de nuit Strasbourg-Port Bou/Nice arrivé avec plus de 24 heures après son départ. Pour deux autres histoires de retard, deux avocats avaient également obtenu gain de cause face à la société, il y a plusieurs mois. «Ces assignations vont se multiplier, soutient Me Metaxas. Les usagers en ont assez. Les abonnements sont trop chers et leur pouvoir d'achat diminue. À travers ces victoires, les usagers doivent prendre conscience qu'ils peuvent récupérer plus que le simple remboursement du billet».

 

 

 

La SNCF va rembourser près de 900 euros à une acupunctrice lyonnaise, dont le train est arrivé avec plus de six heures de retard. Cinq autres voyageurs présents dans le même TGV réclament la même somme. Jurisprudence ?

TRAINS INCLINABLES : L’origine de la nausée dans les trains expliquée

31 Juillet 2011 , Rédigé par TDG.ch Publié dans #ACTU

logo-sbb.gif SUISSE - Le visage blême, le regard perdu dans le vide. Il n’est pas rare de voir, dans l’ICN circulant au pied du Jura, des voyageurs souffrant du «mal de mer» des trains. Un problème connu depuis l’introduction des wagons inclinables en 2001, à l’occasion de l’Expo nationale.

 

Des chercheurs de l’Université de Zurich viennent de trouver une explication. Et une solution. Le problème vient du décalage entre le début des virages et le moment où les wagons s’inclinent, explique Dominik Straumann, professeur au département de neurologie de l’Université de Zurich. Ce n’est donc pas l’inclinaison à proprement parler qui rend malade, mais le décalage entre l’entrée dans la courbe et l’inclinaison. «L’oreille interne et le cerveau ne sont pas capables de gérer deux rotations simultanées, explique le spécialiste. Si vous fermez les yeux et que vous faites tourner votre chaise de bureau, vous n’avez rien. Faites la même chose en hochant la tête et vous vous sentirez mal.»

 

Dominik Straumann a réalisé des tests pendant cinq jours sur 200 passagers entre Winterthour et Gossau. L’étude, publiée dans la revue scientifique The Faseb Journal, a été menée conjointement avec des ingénieurs des CFF et d’Alstom, ainsi que des scientifiques de l’hôpital Mount Sinaï à New York – une institution qui a notamment travaillé sur cette question avec les astronautes. Certains voyageurs étaient équipés d’un accéléromètre fixé sur un bandeau. Ils devaient donner leurs impressions toutes les dix minutes. Environ la moitié des personnes testées se sont senties mal durant le voyage. «Moi-même, si je travaille dans un train inclinable, je suis immédiatement malade, confie Dominik Straumann. Et là, lors de nos tests, j’ai pu utiliser mon ordinateur sans problème. Permettre aux gens de travailler dans le train sans avoir la nausée, c’est aussi intéressant du point de vue économique.»

 

Pour le neurologue, il suffirait de peu de chose pour que la nausée des ICN ne soit qu’un mauvais souvenir. «On peut garder les mêmes trains et les mêmes ordinateurs. Il faudrait juste améliorer le programme qui gère les inclinaisons.» Objectif: permettre à l’ordinateur de mieux anticiper les courbes pour qu’il s’incline pile au bon moment. «Ce n’est pas si simple que ça, tempère Jacques Revaz, porte-parole des CFF. Il ne s’agit pas juste d’une mise à jour de logiciel. Cela nécessite des travaux techniques assez importants. Cela coûterait plusieurs millions de francs pour adapter les 44 ICN qui roulent actuellement sur nos lignes.»

 

Pour les CFF, cette adaptation serait possible au plus tôt lors des prochaines grandes révisions des ICN, soit en 2018-2020. Par contre, explique Jacques Revaz, cette technologie va équiper tous les nouveaux trains de grandes lignes à deux étages, qui seront en circulation dès la fin de 2013.

 

Images Vomir

 

Des neurologues de l’Université de Zurich ont trouvé la solution pour mettre fin à la nausée dont souffrent les passagers des trains inclinables. Les CFF temporisent : les usagers auront donc encore la nausée jusqu'en 2018-2020... faudra s'adapter : et peut être poser une nouvelle signalétique pour indiquer les toilettes les plus proches... 

FRET FERROVIAIRE : L'axe central réactivé ?

31 Juillet 2011 , Rédigé par Letelegramme.com Publié dans #REPORTAGE

logo SNCF FRANCE - À l'horizon 2017, pour sa commercialisation, la ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) rendra Paris accessible à 1h28 de Rennes et 3h08 de Brest. Un projet estimé à 3,4milliardsd'euros en 2010 et dont les travaux, entre LeMans et Rennes, vont démarrer à la fin de l'année 2013.

 

Pendant leur déroulement, le trafic des voyageurs ne sera pas perturbé. «Ce qui ne sera pas le cas pour 60% du fret en Bretagne. En particulier celui à destination des Côtes-d'Armor, du Nord Finistère et d'une partie de l'Ille-et-Vilaine», estime YvonRoccon, en charge du développement du fret au sein de l'association des Chemins de fer du Centre-Bretagne (CFCB). Comment seront approvisionnés les clients réguliers du rail qui s'inquiètent, comme la plate-forme logistique de La Brohinière, de Montauban (35) ou celle de Saint-Méen-le-Grand (35), ou encore les coopératives comme la Cooperl à Lamballe, Triskalia à Châtelaudren (22), le site de Plounérin (22)?

 

Les CFCB ont une réponse. Eux qui se désolent de voir la Bretagne ne représenter que 2% du fret français et «de constater qu'il a diminué de 50%, au moment où l'Allemagne en a transporté 56% de plus en l'ouvrant au secteur privé». Car si, en 20 ans, l'association, avec une belle obstination, a démontré que le patrimoine ferroviaire avait de l'avenir, elle ne se cantonne pas qu'à restaurer de vieux autorails et à faire circuler des trains touristiques. Elle propose aussi des solutions. «La plus pertinente et la plus économique serait de rouvrir la ligne marchandises qui traverse la Bretagne, entre Auray et Saint-Brieuc».

 

Une proposition qu'elle a, d'ailleurs, évoquée en avril dernier, lors d'une réunion au ministère des Transports et qu'elle a, d'ores et déjà, chiffrée à12M€. Un chiffre qui permettrait de de réactiver les 12km restant sur les 118km de l'axe Auray-Saint-Brieuc. C'est-à-dire ceux situés entre Saint-Gérand et Loudéac (22), neutralisés depuis 1989. «Or, sur ces 12km, 8km peuvent être réhabilités à moindre frais. La ville de Ploemeur vient d'accepter de nous céder pour un euro symbolique la totalité de ses matériels ferroviaires», précise YvonRoccon, qui a listé tous les travaux, du défrichage au remontage des passages à niveau.

 

Loïc Le Meur, maire de Ploemeur, n'est pas le seul élu à soutenir le projet. Les élus de Loudéac (22) et Pontivy sont, bien sûr, mobilisés. Outre le fait de coller aux objectifs du Grenelle de l'environnement, la renaissance de la ligne de fret Auray/Saint-Brieuc offre des perspectives de développement économique pour toute la Bretagne. «Les ports de Donges (44), Lorient et du Légué (22) pourront, enfin, être connectés. De plus, elle permettrait le retour du fret au nord de la ligne, évitant les allongements de certains trafics passant par Rennes». Le projet prévoit, aussi, une gestion par un opérateur ferroviaire de proximité. «Et, il ne s'agit pas d'opposer le rail à la route, sachant que nombre de transporteurs y sont favorables». En septembre, les CFCB rencontreront des responsables de Réseau ferré de France (RFF) à Nantes pour en discuter. «Il n'y a pas de temps à perdre. Tout doit être bouclé pour septembre 2013».  

 

 

Et si la Bretagne à grande vitesse allait, aussi, booster le fret ferroviaire d'une région où il ne décolle pas, desservant l'économie régionale ? La ligne Auray- Saint-Brieuc pourrait alors être rouverte... Un projet pas si fou que cela !

FINANCEMENT : Contribution de 1 milliard d'EUR de la BEI au projet d'ÖBB

31 Juillet 2011 , Rédigé par newspress.fr Publié dans #ACTU

obb.gif AUTRICHE - La Banque européenne d'investissement (BEI) met un prêt de 1 milliard d'EUR au total à la disposition d'ÖBB pour la ligne à grande vitesse dans la basse vallée de l'Inn, projet qui relève des réseaux transeuropéens (RTE). Dans le cadre de cette enveloppe globale, la BEI et le promoteur du projet ÖBB-Infrastruktur AG ont signé ce jour un contrat portant sur une nouvelle tranche de 200 millions d'EUR, de sorte que la contribution de la BEI au financement de ce projet de RTE se monte à ce jour à 800 millions d'EUR. Le concours en faveur de ce projet dans la basse vallée de l'Inn figure parmi les 20 plus grandes opérations de financement de la BEI et il représente le plus gros prêt jamais accordé par elle en Autriche.

 

Par ce prêt, la banque de développement de l'UE finance la construction d'un tronçon de 41 km de long de la ligne à grande vitesse entre Kundl-Radfeld et Baumkirchen, dans la basse vallée de l'Inn au Tyrol. Ce tronçon, qui fait partie de la ligne d'accès au futur tunnel du Brenner, représente un maillon central du corridor n° 1 Berlin-Palerme du RTE-T. D'ici à 2012, la ligne ferroviaire actuelle à deux voies, à la limite de sa capacité, sera complétée par une nouvelle ligne à grande vitesse à deux voies. Le projet permettra d'accroître les capacités du principal axe ferroviaire nord-sud d'Europe. Il offre par ailleurs la possibilité de fluidifier le transport de personnes et de marchandises. Les voyageurs profiteront de gains de temps sur la durée des trajets et les riverains d'une diminution des nuisances sonores et de la pollution.

 

Wilhelm Molterer, vice-président de la Banque européenne d'investissement a déclaré : « Le montant du financement que nous avons signé aujourd'hui témoigne de l'importance primordiale de ce tronçon ferroviaire pour le futur tunnel du Brenner. Les trains modernes à grande vitesse qui y seront mis en service, rendent le transport ferroviaire beaucoup plus rapide et, partant, nettement plus intéressants que d'autres modes de transport. Le projet aura donc non seulement un effet positif sur l'environnement et sur la consommation d'énergie, mais il améliorera aussi considérablement la qualité de vie des habitants de la basse vallée de l'Inn. »

 

Andreas Matthä, président du directoire d'ÖBB-Infrastruktur AG, remercie la BEI pour le soutien qu'elle apporte à la réalisation de ce projet européen de grand envergure : « ÖBB investit comme jamais auparavant dans la construction de lignes à grande vitesse. Nous voulons ainsi relier l'Autriche au réseau ferroviaire européen du futur. Le prêt de la BEI vient confirmer indiscutablement notre stratégie de développement et la qualité des projets d'infrastructure que nous menons. »

 

 

Un milliard d'EUR pour l'ÖBB afin de mettre en oeuvre la ligne à grande vitesse dans la basse vallée de l'Inn, un projet qui relève des réseaux transeuropéens (RTE).

"- Et on dit merci à qui ?"

"- Merci la BEIiiiiiiiiiiiii"..."

COUPURE D'ELECTRICITE : Trafic SNCF perturbé dans le Douaisis

31 Juillet 2011 , Rédigé par Lavoixdunord.fr Publié dans #FLASH INFO

Logo-RFF.jpg logo SNCF FRANCE - Un simple accident, sans blessé, a provoqué des réactions en chaîne dans le nord de la France. Vendredi vers 18 heures, un tracteur percute un poteau électrique, près des silos à grains route de Cantin, à Arleux, au sud de Douai. Le câble de moyenne tension qui passe au-dessus de la voie ferrée avoisinante a chuté et est venu se poser sur les caténaires.

 

Conséquence : le trafic des trains sur cette partie de la ligne Douai-Cambrai devient impossible. Hier soir, la SNCF indiquait que deux trains ont directement été impactés par l'incident. L'un transportait quatre personnes qui ont été prises en charge par des taxis. L'autre comptait à son bord quatre-vingts personnes, qui sont reparties en autocar. La plupart des TER en direction de Cambrai ont été détournés via Somain, occasionnant des retards, notamment en gare de Douai. Le tout, afin de réguler le trafic et de ne pas saturer la ligne.

 

À la tombée de la nuit, les techniciens intervenaient toujours sur la voie ferrée. La circulation des trains entre Douai et Cambrai devait reprendre samedi matin.

SECURITE : Plus de la moitié des trains équipés du système TBL+1 en Belgique

31 Juillet 2011 , Rédigé par 7sur7.be Publié dans #ACTU

logo sncb BELGIQUE - Plus de la moitié des trains ont été équipés du système de sécurité TBL+1, a indiqué vendredi la SNCB dans un communiqué, ajoutant que le planning était ainsi respecté.

 

La société des chemins de fer avait pris la décision d'accélérer le planning d'installation du système de sécurité TBL1+ à la suite de l'accident ferroviaire de Buizingen (Hal), lors duquel deux trains sont entrés en collision le 15 février 2010, tuant 19 personnes. Au total, 1.021 locomotives et automotrices doivent être équipées de ce système de sécurité pour le début 2013. Aujourd'hui, le planning est "parfaitement respecté puisque 52% de la flotte est désormais équipée de TBL+1". D'ici la fin de l'année, 64% de la flotte devrait être équipée, selon les prévisions de la SNCB.

 

Le système TBL+1 repose sur une balise au sol qui envoie un signal électromagnétique capté par une antenne placée sous la locomotive. Il permet de vérifier qu'un train approche bien du signal rouge à vitesse réduite (moins de 40 km/h). "Si à 300 m du signal, le train roule toujours à plus de 40 km/h, le système activera automatiquement le freinage d'urgence pour l'arrêter", d'après des explications disponibles sur le site d'Infrabel, le gestionnaire du réseau ferroviaire.

 

   

Plus de la moitié des trains ont été équipés du système de sécurité TBL+1, a indiqué vendredi la SNCB dans un communiqué, ajoutant que le planning était ainsi respecté; on le lui souhaite : ce serait dommage de refaire un accident du genre Buizingen ...  

LGV : 10.000 emplois promis par Eiffage autour du chantier pour le TGV Le Mans-Rennes

31 Juillet 2011 , Rédigé par Eric Publié dans #FLASH INFO

Logo-RFF.jpg FRANCE - La phase préparatoire terminée, la construction de la Ligne à Grande Vitesse Le Mans-Rennes va pouvoir démarrer. Marc Legrand, président de Eiffage Rail Express, qui a obtenu le marché de la construction, était présent, jeudi, au Conseil régional, à Rennes, pour évoquer les emplois qui seront créés grâce à ce chantier.

 

Des ingénieurs, des coffreurs, des maçons, des conducteurs d'engin, des électriciens mais aussi des géomètres et des comptables, sont une partie des corps de métier nécessaires à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV). Selon Marc Legrand, environ 1.500 personnes vont travailler directement sur le chantier.

 

Les recrutements débuteront dès le début de l'année prochaine, afin de permettre de former les équipes. Les travaux, eux, ne devraient pas démarrer avant l'été prochain. «Pendant un an, vous ne verrez rien, a expliqué Marc Legrand. C'est une phase d'étude».

 

Ces travaux préparatoires seront suivis, en 2013 et2014, du terrassement et des ouvrages d'art. En 2015, la superstructure sera mise en place, puis la pose des voies et la mise en électricité. Pour toutes ces tâches, le recrutement et la formation se feront localement. Une petite partie des travaux sera confiée à des sous-traitants locaux.  «On ne dépassera pas les 30 % de sous-traitance, explique le directeur. Car c'est à nous qu'on a confié les travaux, pas à quelqu'un d'autre». La direction du projet sera ancrée à Rennes et comptera environ 300 personnes. Deux bases de pose de voies seront installées à Laval et Sablé-sur-Sarthe. Une fois le chantier terminé, elles deviendront des bases de maintenance, générant une centaine d'emplois.

 

Pendant le chantier, Eiffage s'est engagé à ce que 8 % des heures travaillées soient réservées à des personnes en insertion. Au total, Eiffage et Réseau Ferré de France estiment que 10.000 personnes seront amenées à travailler, de près ou de loin, sur ce chantier. «Il ne faut pas oublier toutes les activités indirectes, notamment les services, qui vont bénéficier de ce projet», ajoute Hubert du Mesnil, président de RFF.   

 

 

Selon le constructeur Eiffage, qui a obtenu le marché de réalisation de la LGV (Ligne à grande vitesse), 10.000 personnes devraient, de près ou de loin, travailler sur le chantier. Début des travaux en 2012, mais 10.000 emplois... ça sent l'effet d'annonce...

VOL : Sept tonnes de cuivre dérobées à la SNCF

29 Juillet 2011 , Rédigé par Lunion.presse.fr Publié dans #FLASH INFO

logo SNCF FRANCE - Des voleurs de cuivre - de plus en plus actifs ces derniers temps dans les ardennes - ont de nouveau frappé. La semaine dernière, 350 mètres de câble avaient été volés le long du canal près de Bairon. Cette fois, c'est à Sedan même que ça s'est passé.

 

Le week-end dernier, une « équipe », apparemment bien rodée à ce type de casse, a dérobé environ sept tonnes de cuivre qui étaient stockées dans un entrepôt appartenant à la SNCF, situé sur le site de l'ancienne usine de la CMP, route de Wadelincourt. Ce vol particulièrement audacieux, qui a tout de même dû prendre un certain temps vu le poids et le volume de la marchandise emportée, a été commis de nuit, mais en l'absence de témoins, les enquêteurs ne savent pas précisément durant quelle nuit (entre vendredi et lundi), la fine équipe a sévi. Les individus ont sans doute profité de la situation assez isolée de cette friche industrielle partiellement réhabilitée, où plusieurs sociétés se sont implantées et où certains bâtiments font office de hangars de stockage, pour sévir sans se faire remarquer le moins du monde.

 

Après avoir neutralisé une alarme sonore, les voleurs, ont utilisé des engins de manutention trouvés sur place, notamment un chariot élévateur, pour charger leur butin. Ils sont repartis avec une dizaine d'énormes tourets (grosses bobines de bois) sur lesquels étaient enroulés du câble de cuivre destiné aux caténaires des lignes SNCF. Ils ont également fait main basse sur diverses chutes de cuivre. Par ailleurs, il n'est pas exclu qu'ils aient transporté ces tourets avec un camion dérobé la veille dans les locaux de la société Mory, qui se trouve juste à côté du dépôt SNCF. Le préjudice a été estimé à environ 50 000 euros.

 

Une enquête a été ouverte par la Brigade de Sûreté Urbaine du commissariat de Sedan.

 

 

 

Nouvelle razzia sur le cuivre, décidément fort convoité ces derniers temps. À Sedan, un entrepôt SNCF a été dévalisé. Le préjudice est estimé à 50 000 €...